Actualité de l'immobilier

Actu immobilier : crédits, conseils & investissement Après un an de marasme, les ventes rebondissent dans le monde de l’immobilier neuf. Les réservations de maisons et d’appartements neufs ont en effet atteint 30.500 unités au premier trimestre 2021, soit 4.200 de plus qu’à la même période un an plus tôt, d’après les derniers chiffres (provisoires) publiés par le service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. Ce sursaut intervient alors que les réservations étaient descendues à un niveau plancher entre avril et juin 2020. “Pour la première fois depuis le premier trimestre 2020, le niveau des réservations devient plus élevé que celui observé lors des quatre trimestres précédents”, communique le SDES. Le marché, toutefois, reste en convalescence. Si l’on cumule les réservations des douze derniers mois (entre avril 2020 et mars 2021), notent les auteurs de l’étude, celles-ci restent toutefois inférieures de 16,2% par rapport aux douze mois précédents.

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On constate également une demande de plus en plus croissante en chasseur immobilier locatif

Que les vendeurs se rassurent. Alors qu’ils sont 27 % à craindre une baisse des prix, selon l'étude SeLoger de février 2021, le baromètre LPI-SeLoger indique qu’ils ne cessent de grimper. Sur un an, les prix de l'immobilier progressent de 5,8 % pour atteindre 3 655 €. Une moyenne qui repose sur des hausses plus ou moins fortes selon les régions. L’immobilier à Angers et Metz augmente respectivement de 16,2 % et de 17,2 % sur la période. A Lyon, la hausse atteint 9,2 % et même Paris gagne 3,9 %. Six raisons expliquent cette tendance haussière, qui ne risque pas de s’inverser de sitôt, car rappelons-le, l’immobilier est un marché de temps long. « Partout sur le territoire, le marché est en insuffisance d’offre, pose Michel Mouillart, économiste et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger. La chute de la construction renforce la pénurie locale, qui existait déjà. Peu de villes peuvent prétendre se trouver à l’écart de ces grandes pressions ». Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2020, seulement 381 600 logements ont été autorisés à la construction l’an passé (-14,7 % sur un an), quand les experts estiment que pour répondre aux besoins de logement des Français, il faudrait en autoriser 500 000 chaque année.

Bien isoler les bâtiments et concevoir des machines peu gourmandes en énergie, c’est bien mais récupérer une énergie disponible qui se perd habituellement, c’est encore mieux. Ce principe, c’est celui de l’économie circulaire et il est déjà utilisé par des sociétés innovantes qui récupèrent par exemple la chaleur dégagée par des supercalculateurs informatiques pour chauffer des logements, des bureaux ou des équipements publics (c’est le cas de Qarnot computing) ou en récupérant la chaleur de votre eau de vaisselle ou de douche, comme le propose Biofluides environnement. » LIRE AUSSI - Ils paient plus de 330 euros de chauffage par mois dans leur écoquartier

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De son côté, la société mayennaise France Énergie mise sur la pompe à chaleur sur boucle d’eau. Une technique qui s’appuie sur des tuyaux d’eau «froide» (de 15 à 35°C) qui traversent l’intégralité du bâtiment et permettent de tirer profit des différences de températures entre les parties les plus froides et les plus chaudes d’un même immeuble. Déjà mis en œuvre à grande échelle pour des bureaux, ce système permettrait également d’équiper des logements, notamment au sein d’écoquartier en jouant sur les échanges thermiques entre plusieurs bâtiments.